La même époque a vu construire la pyramide de Kheops, les Alignements de Carnac, des temples en Asie et en Amérique du Sud selon des règles de base similaires avec le but de capter les énergies pour les retransmettre .

Pendant longtemps, l’Église a confisqué la science, réservant ces connaissances à certains moines et autres ecclésiastiques. Aujourd’hui, ayant perdu peu à peu ce savoir, peu de gens connaissent les motivations précises de l’édification des lieux de cultes ( forme, orientation, localisation..).
La géobiologie sacrée va s’intéresser plus particulièrement à l’étude des réseaux de forces sacrés sur lesquels sont disposés la quasi-totalité des hauts lieux vibratoires construits depuis la nuit des temps (Pyramide, Mégalithes, Cathédrales, …) Elle nous aide à comprendre comment ont été implantés les monuments et constructions les plus anciens de l’humanité.
Les rayonnements venus de la terre
Des métaux du noyau en fusion émanent des réseaux géo-magnétiques, qu’on nomme « réseaux telluriques ». Ils sortent de la Terre par des lignes énergétiques de différentes épaisseurs. Ils sont formés de plans verticaux et éventuellement horizontaux sous forme de quadrillages plus ou moins réguliers.

Il existe une multitude de métaux, chaque métal a son réseau.
Quelques-uns ont des rayonnements nocifs pour l’être humain et la plupart des animaux a sang chaud. Les réseaux Nickel, (dit réseau Hartmann) et Fer ( dit réseau Curry) sont connus pour représenter une certaine nocivité à leurs croisements.
D’autres sont neutres.
Quelques uns enfin, comme l’ Or, l’Argent, le Cuivre, sont particulièrement bénéfiques
Georges Prat, architecte et géobiologue, a ainsi découvert que des édifices religieux étaient reliés entre eux par une espèce de cordon ombilical, qu’il a nommé flux sacré. Ces flux sacrés peuvent franchir de grandes distances et dynamiser tout sur leur passage. Ces flux expliquent l’orientation apparemment illogique de certains édifices , ce qui semble confirmer que la construction de l’édifice suit l’orientation de ces flux et non une stricte orientation géographique.
